VACCIN COVID-19 : Objectif, niveler la population mondiale vers le bas (notamment en Afrique) ?

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Le débat est lancé avec le début de la vaccination dans plusieurs pays occidentaux où le coronavirus fait des ravages. Une logique teintée d’arrières pensées assumées : les Occidentaux ont préféré mettre l’accent sur un vaccin dont la mise en service à cause des tests requis, demande parfois des années, alors que la généralisation des traitements, était une solution plus réaliste. Ce n’est plus un secret pour personne qu’il existe des traitements contre le coronavirus aussi bien dans les pays occidentaux qu’en Afrique, qui guérissent les malades frappés par le coronavirus. Mais, en Occident, ces traitements sont dénoncés et les médecins qui les prescrivent sont parfois attaqués en justice (c’est le cas du professeur Didier Raoult à Marseille), tandis qu’en Afrique où ils ont permis d’éviter l’hécatombe qu’on prédisait sur ce continent, on évite d’en parler pour ne pas décourager la piste du vaccin où les laboratoires sont appelés à se faire de dizaines de milliards de dollars de gains dès sa mise sur le marché.

Cette stratégie de certains pays occidentaux, échappe à toute logique et pousse les citoyens à être réservés d’autant plus que beaucoup de choses sont dites par rapport à la vraie raison qui pousserait à privilégier plutôt le vaccin. En Afrique, par exemple, ce vaccin aiderait à réduire la population du continent qui s’accroît à un rythme qui effraie les lobbys concernés. En France, aussi, les populations ne souhaitent pas se vacciner, dans leur majorité, pour d’autres raisons. C’est dire que ce vaccin pose plus de questions qu’il n’apporte de solutions.

Alors que les premières doses du vaccin développé par l’Américain Pfizer et l’Allemand BioNTech sont arrivées en France, samedi, 26 décembre, la défiance augmente auprès des Français. Selon la dernière étude CoviPrev de Santé Publique France, 60 % des personnes interrogées entre le 14 et le 16 décembre n’envisagent pas de se faire vacciner.

En novembre, ils étaient 47 %. En juillet, ce chiffre s’élevait à 36%. Ces études ont été menées sur un échantillon de 2.000 personnes.

Le chiffre évolue en fonction de l’âge : 27 % des 25-34 ans souhaitent se faire vacciner, ils sont 60 % chez les plus de 65 ans. Parmi les arguments évoqués contre les nouveaux vaccins, ceux-ci ne seraient “pas sûrs” pour 82% des personnes interrogées. 26% préfèrent “d’autres moyens de prévention, comme les gestes barrières”. Enfin, 16% sont “contre la vaccination en général”.

Autre raison non assumée par les « bienfaiteurs » comme l’Américain Bill Gates : parvenir à travers certaines substances contenues dans ces futurs vaccins à réduire la population du tiers-monde et singulièrement africaine, qui s’accroît de façon exponentielle, ce qui serait une menace pour l’ordre établi par le monde occidental. Cette réduction de la population permettrait, aussi, selon les partisans de cette thèse, à résoudre le difficile problème du réchauffement climatique.

Le problème est que tout le monde n’a pas perdu son bon sens. Pour preuve, les anti-vaccins se recrutent, aussi, parmi les plus grandes sommités médicales du monde. Des personnalités hors de tout soupçon, qui ne traînent aucune casserole et qui n’ont aucun compte à régler à personne. Juste des scientifiques de haut niveau qui gardent leur honnêteté intellectuelle et leur bon sens. C’est le cas par exemple du co-découvreur du virus du sida, le professeur, Luc Montagnier, qui ne mâche pas ses mots :

« Je vais tempérer l’enthousiasme pour ce projet de vaccin (Moderna mais qui vaut également pour les autres vaccins qu’on met sur le marché actuellement avec précipitation,ndlr). C’est un projet à long terme et on demande de le sortir tout de suite, et si le laboratoire accepte, c’est une erreur car on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles comme des cancers ou des organes qui peuvent se mettre à proliférer. On joue à l’apprenti-sorcier totalement. On a fait beaucoup d’études sur des animaux certainement pas pour les dupliquer sur les êtres humains. Il ne faut pas que l’homme (les enfants) servent de cobaye. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins ».

Le professeur Luc Montagnier prêche-t-il dans le désert ? Il ajoute : « On ne sait pas et on ne peut pas prévoir ce qui va se passer après une, deux, trois, quatre générations après les vaccins. Cela nous porte dans un siècle finalement. Et puis, le vaccin est une solution, mais, pas LA seule contre le covid. Il y a des traitements thérapeutiques qui ne coûtent pas cher : azithromycine, hydroxychloroquine, il y en a d’autres. Il y a aussi des médecines herbales, qui ont des effets sur le paludisme et qui peuvent aussi avoir des effets sur cette infection. Donc, on n’est pas du tout démuni ».

Mais, à écouter les propos alarmistes de certains pro-laboratoires tapis, parfois, dans l’ombre de certains gouvernements, le vaccin anti-covid est LA solution.

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