L’ultranationaliste, Sinan Ogan, a annoncé, lundi, 22 mai, qu’il soutiendra le président sortant, Recep Tayyip Erdogan, au second tour de l’élection présidentielle en Turquie ce dimanche, 28 mai. Fort de 5,2 % des voix recueillies au premier tour le 14 mai, le quinquagénaire de haute taille, dissident du parti d’extrême-droite, MHP, était courtisé par les deux finalistes de l’élection. Erdogan va donc gagner l’élection présidentielle, ce qui ne fait pas les affaires de ses petits alliés de l’OTAN où on souhaitait clairement sa défaite. Il a déjoué tous les pronostics en Occident et va devoir positionner la Turquie comme un pays indépendant de toutes influences, qu’elles soient américaine ou russe. N’est-il pas le seul facilitateur actuel accepté à la fois par la Russie et l’Ukraine ? Alors même que la Russie et la Turquie s’opposent militairement en Libye. On peut ne pas aimer Recept Tayyip Erdogan. Il travaille pour la Turquie et non pour Washington ou Moscou.
Français▼
X
Afrikaans Shqip አማርኛ العربية Հայերեն Azərbaycan dili Euskara Беларуская мова বাংলা Bosanski Български Català Cebuano Chichewa 简体中文 繁體中文 Corsu Hrvatski Čeština Dansk Nederlands English Esperanto Eesti Filipino Suomi Français Frysk Galego ქართული Deutsch Ελληνικά ગુજરાતી Kreyol ayisyen Harshen Hausa Ōlelo Hawaiʻi עִבְרִית हिन्दी Hmong Magyar Íslenska Igbo Bahasa Indonesia Gaelige Italiano 日本語 Basa Jawa ಕನ್ನಡ Қазақ тілі ភាសាខ្មែរ 한국어 كوردی Кыргызча ພາສາລາວ Latin Latviešu valoda Lietuvių kalba Lëtzebuergesch Македонски јазик Malagasy Bahasa Melayu മലയാളം Maltese Te Reo Māori मराठी Монгол ဗမာစာ नेपाली Norsk bokmål پښتو فارسی Polski Português ਪੰਜਾਬੀ Română Русский Samoan Gàidhlig Српски језик Sesotho Shona سنڌي සිංහල Slovenčina Slovenščina Afsoomaali Español Basa Sunda Kiswahili Svenska Тоҷикӣ தமிழ் తెలుగు ไทย Türkçe Українська اردو O‘zbekcha Tiếng Việt Cymraeg isiXhosa יידיש Yorùbá Zulu