La chance que la Côte d’Ivoire a au 21e siècle, est que le président, Henri Konan Bédié, et le président, Laurent Gbagbo, pèsent de leur génie politique, en tant que garants de la Côte d’Ivoire moderne. Prions Dieu afin que leur expérience politique soit le ciment des intellectuels et des cultivés ivoiriens.

Sachons attendre leur onction, sinon, leur épée serait désastreuse. Nos frères de la CEDEAO ne pourront pas détruire le pays si nous sommes unis comme un seul homme derrière les présidents, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo (sur notre photo le premier offre une fleur au second venu lui rendre visite à Daoukro en juillet dernier).

Le président Laurent Gbagbo a ouvert la brèche avec le diable en signant un accord politique et fit un tandem républicain avec Dramane Alassane Ouattara, président actuel de la Côte d’Ivoire, nous avons vu la suite.

Le PDCI-RDA du président, Henri Konan Bédié, a, également, mangé avec le diable en créant un parti politique dénommé RHDP.

Le père de la nation, Feu FHB, disait qu’aucun de ses enfants ne ferait la politique, mais, qu’il ouvrait le chemin à plusieurs générations : je cite le président, Henri Konan Bédié, le président, Laurent Gbagbo, etc.

Tous les Ivoiriens ont un village et moulus à la même culture. Même s’ils ont des incompréhensions, parfois, ils finissent toujours par se comprendre. Cette hauteur d’esprit qui les caractérise, n’est pas donnée à tout le monde. Si Gohore (Gouro) du village A, peut aller voir Kipré (Bété) du village B ou Kouadio (Baoulé) du village C, et vice versa, la réciprocité est loin d’être évidente quand on vient d’ailleurs quand bien même on serait ressortissant de la CEDEAO.

Quand on sait d’où on vient, on sait forcément où on peut aller (ensemble ou pas).

HUE Vodji Bertin

Membre du Bureau politique

Inspecteur du PDCI-RDA

Commandeur dans l’ordre du Bélier.