Priorité à la remise à niveau de la sécurité sur l’ensemble du territoire burkinabè. Pour le capitaine-président, Ibrahim Traoré, tant pis pour ceux qui poussent pour la tenue des élections et le retour de l’armée dans les casernes. Il n’est pas du genre à plier devant les pressions surtout quand celles-ci ne sont pas fondées. A l’occasion du premier anniversaire de son arrivée au pouvoir, il a tenu à être clair devant le peuple burkinabé, lors d’une interview accordée à la télévision d’Etat : pas d’élection au Burkina tant que la sécurité ne sera pas rétablie sur l’ensemble du pays, et modification de la constitution en vue afin qu’elle soit le reflet de tout le peuple et non d’une petite élite de Ouagadougou. Pour cela, des consultations partiraient des villages pour répertorier des propositions des citoyens avant d’être centralisées dans la capitale. Plus jeune parmi les dirigeants africains, le capitaine-président, Ibrahim Traoré (devenu le chouchou de Poutine depuis son mémorable discours prononcé à Moscou pendant le Sommet Russie-Afrique), montre tous les jours qu’il a la tête sur les épaules. Au grand bonheur des Burkinabé.
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