Après avoir mis le feu dans la maison (France), le jeune président, pris à son propre jeu devenu dangereux pour lui-même et pour son environnement, s’organise pour en limiter les effets nocifs. C’est ainsi qu’il s’apprêterait à nommer, demain, mercredi, 3 juillet, en Conseil des ministres (le tout dernier ou l’avant-dernier avec l’équipe gouvernementale actuelle), les deux plus hauts responsables de la police et de la gendarmerie françaises. Marine Le Pen, en effet, est à l’origine «des rumeurs» selon lesquelles Emmanuel Macron envisagerait de nommer en Conseil des ministres de nouveaux directeurs généraux de la police nationale et de la gendarmerie. Lui qui a déjà prévu une possible « guerre civile » qui guetterait la France en cas de cohabitation avec le Rassemblement national. Marine Le Pen, qui a rendu publique ce matin cette « rumeur », montre que l’extrême-droite a infiltré l’appareil étatique jusqu’à l’Elysée. Les Français sauront demain si cette « rumeur » se confirme ou non.
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