24 août 2020 – 24 août 2024. 4 ans déjà que l’ancien chef d’Etat congolais, le professeur, Pascal Lissouba, s’en est allé, à Perpignan, dans le Sud de la France. Il s’y était installé après un séjour au quartier des ambassadeurs à Londres.

Nous, militants de l’UPADS, parti politique que le président, Pascal Lissouba, avait créé, de haute lutte, au sortir de la Conférence  nationale souveraine, en 1991, à Brazzaville, et, avec nous, l’ensemble du peuple congolais, qui avait porté le président, Pascal Lissouba, à la magistrature suprême de son pays, la République du Congo, nous ne l’avions pas oublié.

Là-bas, à l’Orient Eternel, que le président, Pascal Lissouba, repose en paix.

Puisse, par ailleurs, ses regards être tournés vers l’UPADS, aux fins que ce parti, dans la phase de pénible regroupement de ses militants qu’il traverse, il retrouve ses vraies marques et se remettre, dans une phase déterminante de reconquête du pouvoir. D’autant que ce parti en a les moyens politiques et humains. Ce à quoi s’ajoute l’image de la personne de Pascal Lissouba qui, depuis sa disparition, ne flétrit nullement, sur l’étendue du territoire national.

Joseph Ouabari Mariotti

Membre de l’UPADS

Ancien Garde des Sceaux du professeur Pascal Lissouba (chassé du pouvoir par le coup d’état militaire du général, Denis Sassou-Nguesso, en octobre 1997. Il y est toujours et compte y mourir).