La radiodiffusion existe au Cameroun depuis le début des années 50. Certains documents consultés parlent de 1954. La télévision, elle, ne fonctionne que depuis 1985. Jusqu’en avril 2000, ces deux secteurs de la communication étaient monopolisés par l’état malgré la loi du 19 décembre 1990 sur la liberté de la communication sociale au Cameroun, loi qui subordonnait l’existence des radios et télés privées à la signature d’un décret fixant les modalités de création et de fonctionnement desdites structures. Il a fallu dix ans pour que ce décret voie le jour. Afrique Education a interviewé le nouveau ministre de la Communication, Jacques Fame Ndongo, sur la situation de l’audiovisuel camerounais après sa libéralisation, mais également, sur certains points concernant la presse écrite. Il est également question de la fiscalisation des organes d’information, des questions d’éthique, des journalistes des médias du service public salariés dans les journaux, de la dépénalisation des délits de presse… Une interview dans laquelle Jacques Fame Ndongo présente et défend les positions du Renouveau communicationnel du président Paul Biya.
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