Le parc informatique dont dispose actuellement le Burundi ne dépasse pas les 2.700 ordianteurs pour 6 millions de burundais. De ce fait, le Burundi fait partie des pays les plus réculés sur le plan des Ntic (Nouvelles techniques de l’information et de la communication).

Cette faiblesse en équipements informatiques s’accompagne d’une carence de la formation. L’Université était en avance par rapport au reste du pays dans le domaine des Ntic mais la guerre est venue casser cet élan. Aujourd’hui, le pays tout entier ne dénombre qu’un millier d’abonnés réguliers tandis que les utilisateurs se chiffrent à un peu plus de 5.000 personnes.