Organiser son influence économique ne se fait pas uniquement au niveau de quelques chefs d’Etat. Cela nécessite la participation active de tous les acteurs économiques. Ces derniers doivent consolider leurs organisations collectives sur le plan opérationnel, à ne pas confondre avec des structures corporatistes défendant, de manière catégorielle voire tribale, des intérêts éphémères et non productifs, souvent aux dépens de ceux de la collectivité sous-régionale ou continentale. Il faut le reconnaître, l’africain sur le plan décisionnel, privilégie encore son intérêt particulier et individuel aux dépens du groupe ! Comment alors organiser une influence économique sous-régionale voire continentale dans ces conditions ? La réponse tient dans l’élargissement du nombre de personnes pouvant offrir des solutions aux problèmes concrets (qui ne peuvent se limiter au ventre) des africains et abolir le culte et le goût du secret de l’entourage des dirigeants africains. Cet entourage substitue et confond invariablement et selon son intérêt particulier, l’obligation de réserve et le droit de la population à l’information et à la participation.
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