De véritables peureux. Désormais, Vladimir Poutine sait qui est qui au sein des BRICS et qui est capable de faire quoi. Le monde ayant arrêté son souffle hier, samedi, 24 juin, quand le chef de Wagner, Evgueni Prigojine, a lancé ses troupes pour prendre Moscou, au sein des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), on s’est fait tout petit. Alors que Biden, Macron, Rishi Sunak, priaient (en silence) pour que Prigojine ait le dernier mot et que Poutine puisse même perdre le pouvoir, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud préféraient se murer dans un silence plus que coupable. Aucune déclaration publique alors que les pays courageux comme la Corée du Nord ont envoyé, ce dimanche, 25 juin, un message de soutien au « camarade » Vladimir Poutine : c’est lors d’une réunion avec l’ambassadeur russe à Pyongyang que le vice-ministre nord-coréen des Affaires étrangères s’est exprimé. Im Chon Il a « exprimé sa ferme conviction que la récente rébellion armée en Russie serait réprimée avec succès », selon l’agence de presse nord-coréenne KCNA. Il a, également, assuré que « l’armée et le peuple russe surmonteront certainement les épreuves et sortiront héroïquement victorieux de l’Opération militaire spéciale contre l’Ukraine ». De son côté, la Chine n’a pas joué les équilibristes non plus : « En tant que voisin amical et partenaire stratégique, la Chine soutient la Russie dans ses efforts pour protéger la stabilité du pays, se développer et atteindre la prospérité », a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué, soulignant que ce qui venait de se passer en Russie (Wagner) était une « affaire intérieure ». Lors d’une rencontre dans la capitale chinoise entre le vice-ministre russe des Affaires étrangères et le vice-ministre chinois des Affaires étrangères, « la partie chinoise a exprimé son soutien pour les efforts des dirigeants de la Fédération de Russie pour stabiliser la situation dans le pays en lien avec les événements du 24 juin ».
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