« J’ai reçu François Bozizé dans un cadre purement humanitaire. Et tant que je serai à la tête de ce pays (Guinée-Bissau), il ne sera pas extradé. Sauf s’il souhaite partir de son plein gré. Le président Touadéra lui-même le sait. Je suis désolé de le dire cela n’est pas ce que lui et moi avions dit à ce sujet. Nous avions parlé d’autres choses qui n’ont rien à voir avec l’extradition de Bozizé. Je ne vais pas extrader Bozizé, je veux que cela soit clair », a déclaré le président bissau-guinéen, Umaru Sissoco Embalo. Recherché par la Cour pénale spéciale (CPS) de Bangui, l’ancien président centrafricain, François Bozizé, est dans le viseur de la justice centrafricaine. Fin avril, la CPS a émis un mandat d’arrêt international contre l’ex-dirigeant pour des crimes commis par la Garde républicaine et les forces de sécurité dans la ville de Bossembelé entre 2009 et 2013. Pour la CPS, François Bozizé est responsable présumé de ces crimes. Mais, la Guinée-Bissau, la terre d’exil de François Bozizé, s’oppose à cette demande d’extradition.
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