L’Union européenne a ajouté, mardi, 14 février, la Russie à la liste noire des paradis fiscaux, une mesure avant tout symbolique, ce pays étant déjà sous le coup de sanctions économiques liées à l’invasion de l’Ukraine. Outre la Russie, les Îles Vierges britanniques, le Costa Rica, les Îles Marshall ont, également, été inclus dans cette liste comprenant désormais seize entités. Cela dit, à Moscou, on minimise les conséquences de cette décision de l’Union européenne, d’autant plus que la Russie fait du commerce international en utilisant d’autres moyens, sans oublier la mise en place du système monétaire et financier des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), qui est en train de se déployer à l’international pour contourner le système financier du vieux monde occidental bâti autour des institutions de Bretton Woods (Fonds monétaire international, Banque mondiale, etc.). De plus en plus de pays demandent à y adhérer.
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