Les sages rejettent, catégoriquement, la date du 2 juin pour organiser l’élection présidentielle. Le Conseil constitutionnel redit que le pouvoir du président de la République prendra fin le 2 avril, date à laquelle il devra quitter le palais présidentiel pour regagner sa villa au quartier Mermoz. Le Conseil constitutionnel confirme les 19 candidats retenus comme seuls aptes à participer à la future élection présidentielle dont une nouvelle date devra être fixée par le président-sortant, Macky Sall. Le Conseil constitutionnel, précise, enfin, que Karim Wade, le fils de l’ancien président, Abdoulaye Wade, ne sera pas candidat pendant cette élection présidentielle. Plongé dans ses contradictions, Macky Sall devra prendre acte de cette deuxième humiliation que lui infligent les sages, et voir qu’il a perdu sur toute la ligne à force de vouloir s’accrocher au pouvoir. Il va quitter la présidence de la République avec zéro crédibilité depuis sa reconversion ratée comme dictateur tardif.
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