Le président sortant revendique 52,09% des voix contre 47,91% pour son rival, Kemal Kiliçdaroglu, selon l’agence de presse officielle Anadolu. Après 20 ans déjà passés au pouvoir, il se prépare à faire 5 nouvelles années, une situation qui ne ravit vraiment pas les pays européens surtout membres de l’OTAN qui ont souhaité en silence le changement de pouvoir en Turquie. Les officiels n’en disaient mot mais la presse européenne toutes tendances confondues avait annoncé la quasi-défaite de Recep Tayyip Erdogan avant le premier tour, avant d’être désagréablement surprise par les résultats du premier tour, qui laissent voir que celui que les pays européens détestent sera là pour un nouveau mandat. En Afrique où personne ne connait le rival d’Erdogan, c’est la satisfaction à peine voilée d’avoir le président sortant comme interlocuteur, sauf dans les pays comme l’Egypte où le président al-Sissi avait chassé du pouvoir, en juillet 2013, le président démocratiquement élu, Mohamed Morsi, membre des Frères musulmans que soutenait activement le président turc.
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