Le dictateur à la tête de la Tunisie, l’anti Négro-Africain, Kaïs Saïed, a désigné le préfet de Tunis, Kamel Feki, un de ses proches, comme ministre de l’Intérieur en remplacement de l’influent Taoufik Charfedddine. Outre son drame personnel avec le décès de sa femme suite à l’incendie de leur résidence, ce dernier n’était pas très heureux de conduire la politique anti-noirs du président-dictateur tunisien. Il a rendu son tablier. Avec dignité. Cet ex-avocat était l’un des piliers de la campagne électorale, qui avait conduit Kais Saied à la présidence en 2019. Le nouveau ministre de l’Intérieur, Kamel Feki, est, lui aussi, proche du président Saied. Diplômé en droit, cet ancien cadre au ministère des Finances a occupé le poste de préfet de Tunis depuis fin 2021. Pendant ce temps, les charters continuent de déverser les Africains qui fuient la Tunisie où des agressions sont devenues monnaie courante. Le dernier en date transportait plus de 60 Burkinabé sur les 150 qui ont décidé de quitter la Tunisie, y compris ceux qui étaient détenteurs de papiers en règle.
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