Ca pouvait friser la provocation. Mais venant de qui ? Certainement pas d’Emmanuel Macron considéré par le président russe comme l’un de ses plus grands ennemis en Occident. Le président chinois, qui entretient de très bonnes relations avec son homologue russe, tous deux membres fondateurs des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) l’aurait, sans doute, dégusté avec bonheur. Sauf que la partie française s’est ravisée à temps et demandé la déprogrammation de ce gâteau « russe » alors que le contexte politique actuel, ne le permet pas. Ce dessert à la praline, spécialité des Pyrénées (où déjeunaient les deux couples présidentiels), a été remplacé par une tarte aux myrtilles en raison de son nom sensible au vu du contexte géopolitique.
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