Depuis la décision du gouvernement gabonais de fermer et d’évacuer les campus de Libreville et Francelle, les étudiants étrangers inscrits dans ces deux établissements sont pratiquement laissés à eux. Leur ambassade ne s’en soucie même pas. Début février, ils étaient encore une bonne cinquantaine sur le camps alors que celui-ci était vidé de ses étudiants priés de céder aux injonctions du gouvernement. Les pays concernés sont le Congo, le Burundi, le Tchad, les Comores et la RD Congo. Le resto U fermé, les étudiants concernés ne peuvent qu’être livrés à eux-mêmes. Outre cette situation matérielle précaire, l’incertitude plane également sur leur avenir académique. Tous redoutent une année blanche, une année de plus perdue pour certains, déjà fortement retardés dans leurs études par des troubles dans leur pays, des fuites vers l’étranger ou d’autres années blanches. Les étudiants dispersés dans ces différentes universités suivront ensuite une année de spécialisation ensemble. Et certains déjà d’être privés, en raison de l’absence de cours de la suite de leurs études, ou d’avoir enregistré un retard difficile à rattraper.
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