Des responsables américains ont récemment affirmé que le leader bien aimé, Kim Jong-un, se rendrait en train blindé dans le courant du mois, à Vladivostok, pour y rencontrer Vladimir Poutine. Cette rencontre s’effectue dans le cadre de la formation du nouveau monde qui se formalise sous nos yeux et dans lequel la Russie joue un rôle déterminant.
Confirmation du Kremlin : Le numéro un nord-coréen, Kim Jong-un, sera en «visite officielle» en Russie, «dans les prochains jours», sans faire état de la date précise pour une rencontre avec son homologue russe.
Washington suspecte Moscou, en quête d’armements, de vouloir acquérir des armes et des munitions auprès de son allié nord-coréen, qui en a a gogo. Le communiqué du Kremlin se borne à dire que la venue de Kim Jong-un se fait «à l’invitation du président russe».
Selon l’agence de presse sud-coréenne, Yonhap, le train blindé du leader bien aimé «semblait» s’être mis en route pour la Russie, les deux pays partageant une courte frontière commune, dans l’Extrême-Orient russe, non loin de Vladivostok, où Vladimir Poutine est arrivé, lundi, 11 septembre, avant de participer le lendemain à un forum économique annuel.
La chaîne de télévision sud-coréenne YTN a, de son côté, rapporté que Séoul «s’attend à ce que le président Kim rencontre le président Poutine de Russie aux environs d’après-demain», soit, mercredi, 13 septembre. Il s’agit de vendre des armes à la Russie dans le cadre de la guerre contre l’Ukraine où la Russie voudrait lancer une offensive pour conquérir de nouveaux espaces.
Le leader bien aimé et le président russe se respectent selon l’agence nord-coréenne de presse et sont des alliés naturels qui ne font pas de bruit.