L'arrimage du Congo à la démocratie tant recherchée pendant la Conférence nationale souveraine qui s'est tenue à Brazzaville du 10 février au 25 juin 1991, a laissé auprès de chacun des Congolais, une impression de travail inachevé ou d'objectifs définis non atteints. La démocratie jugée comme seul moyen permettant de voir le soleil se lever au Congo afin de montrer le chemin du développement socio-économique et politique, tarde à s'enraciner car les travers du passé caractérisé par le tribalisme, l’impunité, le régionalisme, l'incompétence et la gabegie, assombrissent l'horizon radieux que le Congo voudrait atteindre.
Le Mouvement pour agir en sigle le MPA, qui se présente comme un mégaphone rendant plus audible l'idéal politique du général du peuple, Jean-Marie Michel Mokoko, se définit comme élément et instrument catalyseur, qui favorisera l'instauration de la démocratie au Congo.