Afrique Education est resté fidèle à la qualification de François Hollande à l’endroit de son ancien protégé devenu comme lui, président de la République : « Emmanuel Macron n’est pas le président des riches mais des TRES RICHES ». Après s’être sorti du scandale Alstom qu’il aurait bradé aux Américains, selon certaines accusations, alors que cette société faisait partie des fleurons de l’industrie française, voilà que le président est rattrapé par ses manoeuvres visant à introduire, presqu’illégalement, la plateforme UBER en France, en prenant soin de la laisser imposer son propre droit du travail. Au grand dam non seulement des syndicats mais surtout des taxis classiques. Sans oublier tout le gouvernement qui était contre dont François Hollande lui-même. D’ailleurs, le président des syndicats de taxis vient de dénoncer ce scandale et demandé l’ouverture d’ « une enquête parlementaire ». Au Sénat, majoritairement sous le contrôle du parti Les Républicains, on va ouvrir une enquête parlementaire. A l’Assemblée nationale aussi où tous partis confondus (NUPES, Rassemblement national, Les Républicains, etc.), les groupes sont en train de se mettre d’accord pour demander une enquête parlementaire. C’est donc un scandale d’Etat qui se profile à l’horizon et qui a tendance à montrer que le président Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir avec l’idée de mondialiser, plus précisément, d’américaniser l’industrie (l’économie) française. On n’est pas loin de la haute trahison car ce qui arrive au regard des fonctions occupées (Ministère de l’Economie et présidence de la République) est d’une gravité extrême. Dès lors, on doute que l’expérience de la majorité d’actions ou par projets que la première ministre, Elisabeth Borne, expérimente au parlement dure longtemps. On entrevoit déjà les blocages qui pourraient contraindre le président de la République à dissoudre. Mais pourra-t-il le faire alors que lui-même est politiquement en danger avec le Scandale Uber ? Personne ne sait jusqu’où ira cette affaire. On sait juste que l’opposition va s’en servir pour emmerder le président. D’où la question de savoir s’il pourra aller au terme de son mandat ? On commence à faire les paris.
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