La Centrafrique a pu organiser les élections présidentielle et législatives à la date prévue (le 27 décembre 2020) alors qu’Anicet-Georges Dologuélé et les autres leaders de l’opposition soutenus et manipulés par Paris voulaient que ces élections soient reportées à cause de “l’insécurité et de la reprise des combats dans un pays contrôlé aux deux tiers par les groupes armés”, si l’on veut reprendre les mots de RFI, la Radio de l'influence française en Afrique francophone.