Le président russe, le très masculin, Vladimir Poutine, a qualifié, jeudi, 23 décembre, d’attitude « obscurantiste » le fait que des personnes changent de genre, c’est-à-dire, de sexe, réaffirmant son approche conservatrice, à l’occasion de sa conférence de presse annuelle. Poutine est un vrai mâle qui ne cesse de le démontrer à la moindre occasion.
« J’ai une approche traditionnelle : une femme est une femme, un homme est un homme. J’espère que notre société a une protection morale interne, dictée par nos confessions religieuses traditionnelles (…) contre cet obscurantisme », a-t-il affirmé. Bravo Poutine !
Interrogé sur la « cancel culture » et les accusations de « transphobie » visant la créatrice d’Harry Potter, J.K. Rowling, il a soutenu que si un homme pouvait se déclarer comme femme et participer à des compétitions sportives, « le sport féminin allait complètement disparaître ».
« Il ne faut pas lutter contre ça avec des décrets, en hurlant ou en lançant des accusations, mais, en soutenant nos valeurs traditionnelles », a insisté le chef du Kremlin.
En Occident, sous le prétexte fallacieux des droits de l’homme et de la liberté de disposer de son corps, on en est arrivé à codifier cette hérésie au point où en France, par exemple, il n’y a plus deux sexes comme au temps passé, mais, trois. Le troisième sexe étant neutre, c’est-à-dire, ni homme (H) ni femme (F) mais neutre (N).
Visiblement, la société judéo-chrétienne qui fut la force de l’Europe et même de tout l’Occident est en train d’imploser sous les yeux désabusés et impuissants d’un Vatican dont la force morale n’est plus ce qu’elle était et dont la qualité de guide spirituel du monde libre (occidental) a cédé le pas aux force du mal, qui sont, actuellement, à l’oeuvre. Terrible constat en pleine période de la nativité.